A la fin des années soixante et après avoir développée nombreux modèles à motorisation FIAT, les barquettes Abarth utilisant leur propre mécanique sont alignées avec succès en courses de côte (1000 SP, 2000 Sport Spider, etc.).
Mais la compétition à ce niveau coûte très cher, et l’entrerprise ne tarde pas à rencontrer d’insurmontables difficultés financières qui en seront pas compensées par le moindre succès des modèles extrapolés de la 850.
En 1971 un accord conclue à l’intégration d’Abarth dans el groupe Fiat.
Le groupe de Turin en fait son département sportif en gommant peu à peu le logo au scorpion.
En quinze ans, de 1956 à 1971, les Abarth ont remporté pas moins de 7300 victoires dans toutes sortes d’épreuves.
Bien que réputées pour leur fragilité, les Abarth, qui, exception faite des berlines dérivées des Fiat 600 et 500, ont connu une diffusion assez confidentielle, laissent le souvenir de machines attachantes aux mécaniques brillantes.