
JAGUAR E-TYPE 4,2L SÉRIE 1 CABRIOLET [Vendu]
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Vends Jaguar Type E série 1 cabriolet.
La Jaguar Type E (appelée Jaguar E-Type au Royaume-Uni et Jaguar XK-E aux États-Unis) a été construite pendant la décennie années 1960-70.
Présentée au Salon international de l’automobile de Genève de 1961, elle succède à la série des XK. La production s’étend de 1961 à 1975 et se décline en trois modèles (cabriolet, coupé et 2+2), trois séries et deux éditions limitées.
La Type E, bien que rappelant la Jaguar D-Type du point de vue de sa ligne, est pour l’époque d’une conception très moderne.
C’est l’aérodynamicien Malcolm Sayer qui la dessina, sous le contrôle de William Lyons. Les évolutions et les modifications sont nombreuses tout au long de la vie du modèle, pour améliorer les performances, la sécurité, le confort, ou encore pour des questions de réglementation, particulièrement aux États-Unis, son principal marché. L’abandon du moteur 6 cylindres en ligne en 1971 au profit d’un inédit moteur V12 Jaguar constitue l’une des modifications majeures.
La série 1 est la plus recherchée, elle est considérée comme la plus pure, malgré certains inconvénients d’utilisation. C’est elle qui a fait naître le mythe et a inauguré l’ère des voitures de sport modernes.
Présentée d’abord avec le célèbre moteur XK 3,8 Litres 6 cylindres, trois carburateurs SU, à double arbre à cames en tête (DOHC) de la Jaguar XK150S, cette série se décompose elle-même en deux versions selon la cylindrée du moteur, 3,8 (jusqu’en 1964) ou 4,2 litres. Les modèles étaient d’abord déclinés en coupé ou en cabriolet, puis en 2+2 à partir de 1966. Le coupé 2 places n’est plus fabriqué à partir de la Série 3.
Les modèles de la série 1 se caractérisent par des phares carénés de verre, des demi pare-chocs antérieurs et postérieurs et des commutateurs de tableaux de bord type « aviation ». Les premiers modèles de 61 à 63 avaient un tableau de bord et une console centrale en aluminium ainsi que des sièges baquets et une boîte de vitesses Moss à première non-synchronisée, bruyante mais fiable.
À partir de 1964 avec le passage à la 4,2 litres, les sièges baquets firent place à des sièges inclinables plus confortables, et le tableau de bord et la console centrale furent recouverts de Rexine, un vinyle noir, au lieu de l’aluminium bouchonné. Le radiateur, le système de refroidissement et le ventilateur sont nettement améliorés sur la 4,2 litres, puisque la 3,8 litres est équipée d’un ventilateur électrique composé d’un moteur d’essuie-glace sur lequel est monté un morceau de fer tordu en guise d’hélice. Cette voiture est d’ailleurs peu utilisable dans une circulation moderne encombrée sans ventilateur d’appoint. La boîte Moss a été remplacée par une boîte Jaguar entièrement synchronisée, plus agréable sinon efficace.
Les tout premiers modèles de l’année 1961, jusqu’à janvier 62 appelés « planchers plats » (flat floor), sont très recherchés, bien qu’ils soient plus inconfortables en raison de l’espace restreint réservé aux jambes. Le dessin très pur des deux versions, dû à sir William Lyons, en coupé et en cabriolet, est d’une beauté remarquable. Le Grand Enzo Ferrari avait d’ailleurs déclaré qu’il s’agissait de la plus belle voiture du monde !
Sa cote actuelle ne cesse de monter, particulièrement depuis le cinquantenaire en 2011.
Le modèle proposé ici est de loin le plus utilisable de la production, tout en gardant le design le plus désirable.
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